À partir d’Espelette, ville des piments, la vraie ballade a commencée.
On voyait déjà les premières cimes bien triangulaire apparaître au loin.
Pas très longtemps après, c’est à Ainhoa que j’ai fait ma première escale, mes premières rues typiquement basques, mon premier fronton de pelote basque (et son chat qui regardait la balle avec intérêt).
C’est ensuite que ça a commencé à grimper bien plus. Premier col à 700m. C’est l’échauffement pour l’après-midi. Là, les routes sont encore à deux voies et en très bon état.
Passage éclair en Espagne en même temps.
La matinée s’est terminée à Saint-Jean-Pied-de-Port pour une déjeuner bien appétissant et une petite marche dans les rues à tendances médiévales. Il ne reste par conte pas grand chose des remparts.